Jeu vidéo

Travailleuses et travailleurs
du JEU VIDÉO


Avec des membres du STJV
Syndicat de Travailleurs et Travailleuses du Jeu Vidéo

 

Syndicat de Travailleurs et Travailleuses du Jeu Vidéo (STJV)
(site internet / page facebook)
Créé en 2018, le STJV est le premier et le seul syndicat de travailleurs dans ce secteur. Il « veut s’adresser à tous les travailleurs motivés du secteur : « Les programmeurs, les artistes, les indépendants mais aussi les vidéastes YouTube, les professionnels du sport électronique, les stagiaires et les chômeurs, énumère Vincent. On les considère comme travailleurs du jeu vidéo.
Selon les employeurs, il y a 5 000 salariés dans le secteur et au moins 30 000 indépendants qui en vivent. »

« Pourquoi un syndicat indépendant ?
Le milieu du jeu vidéo est à nos yeux assez particulier pour justifier un syndicat spécialisé. Il comprend de nombreux corps de métier différents et assez de spécificités pour qu’aucun syndicat existant ne nous paraisse adapté à sa représentation. Néanmoins, et même si ce n’est pas envisagé actuellement, il n’est pas impossible que le STJV rejoigne une fédération dans le futur si ses adhèrent·es le décident.

Qui sont les travailleur·euse·s ?
Le STJV considère comme travailleurs et travailleuses toutes les personnes salariées, quel que soit leur type de contrat (CDD, CDI, intermittence…), leur métier ou leur statut, mais aussi les personnes freelance quel que soit leur statut, ainsi que les personnes cherchant à travailler, en études ou au chômage, et les ancien‧nes travailleurs et travailleuses à la retraite ou autre.

Qu’est-ce que l’industrie du jeu vidéo ?
L’industrie du jeu vidéo est également considérée dans son ensemble, et ne se limite pas à la seule production de jeux vidéo : toutes les personnes employée par une société d’édition, de distribution, de service et/ou de création de jeu vidéo ou matériel pour le jeu vidéo quel que soit le type de production de sa société (jeux consoles, PC, mobile, serious games, expériences VR/AR, moteurs de jeu, services marketing, consoles de jeu, streaming, etc.), les journalistes, streameur‧ses, professionnel‧les de l’enseignement ou de la recherche ou exerçant un métier lié à l’industrie peuvent tout à fait prétendre à être représenté par le STJV.« 


PRESSE :

Droits sociaux. Se syndiquer n’est pas jouer
Article paru le 27/09/2017 dans l’Humanité