Rencontres de métiers en lutte
Heyoka “The Cosmic Joker”, un performance visuelle époustouflante pimenté de magie ancestrale et notes de poésie pure avec sous jacente la tension palpable de la dangerosité réelle de certains numéros, un spectacle vivant !!!
Un mélange savamment créé et interprété entre fou rires et émerveillement ; une alchimie minutieuse et percutante pour petits et grands.
ACTIVITÉS POUR PETITS ET GRANDS
[Tout au long du week-end]
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Anne de Beaujeu aimait beaucoup son château de Chantelle. Elle retrouvait son amie Guillonne de Beaucaire sur les terres de Taxat et particulièrement dans l’église Saint-André. Lors d’une de leur rencontre, Anne perd son collier…
Pour jouer, pas besoin de crème solaire, de chapeau ou de parapluie, l’escape game « Le Collier d’Anne de Beaujeu » se déroule dans l’ancienne église Saint-André à Taxat-Senat naturellement climatisée avec ses gros murs de pierres décorés de peintures murales.
En 1520, Anne de Beaujeu avait réservé un très beau collier à sa fille Suzanne. Peu après la disparition de cette dernière en 1521 elle le confie à l’une de ses jeunes protégées, Guillonne de Beaucaire. On peut voir le blason familial sur un pilier de l’ancienne église Saint-André à Taxat-Senat. Les événements l’ont conduit a le cacher dans cet édifice. Les siècles ont passés; aujourd’hui c’est à vous de le rechercher. Vous avez une heure pour trouver, en vous amusant, la solution à cette belle énigme historique.
Toute les infos ici : https://www.allier-auvergne-tourisme.com/equipement/taxat-senat/escape-game-le-collier-d-anne-de-beaujeu-/6021651
et commencent à être collées massivement dans la région du festival (Auvergne). Vous en voulez pour en coller sur vos chantiers et dans les entreprises où vous bossez pour motivez vos collègues ?
Demandez-nous par mail (derniersdecordee@protonmail.com) en nous filant une adresse postale, et on vous en envoie quelques unes!
Pour avoir lieu, le Festival des Derniers de cordée aura besoin de nombreux coup de mains les 23 et 24 septembre (bar, assistance sur les démos/spectacles, présence à l’entrée, logistiques diverses, rangement,…). Mais il y aura aussi besoin de quelques coups de main les jours avant (20, 21 et 22 ) pour aménager le lieu, monter le chapiteau, la scène, installer les ateliers sur cordes, construire des toilettes sèches, installer le camping…
Le tout dans la bonne ambiance, la rigolade, et l’occasion de se rencontrer en dehors du cœur du festival.
Il y aura la possibilité de poser son véhicule et ou de planter une tente pour dormir sur place.
Alors, ça vous dit ?
Si vous êtes dispos et intéressés pour venir filer la main, vous pouvez dès maintenant vous inscrire et donner vos disponibilités ici : https://forms.gle/gzqWouEeuN6hyiNH6
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Le programme du festival se peaufine ! Découvrez une première ébauche du déroulé des deux jours de rencontre de métiers en lutte.
l’affiche provisoire du Festival des Derniers de cordée
Le détail du programme sera mis à jour progressivement dans le courant de l’été.
OYEZ, OYEZ,
TRAVAILLEUSES ET TRAVAILLEURS
QUI NE SE LAISSENT PAS FAIRE !
Fin septembre aura lieu la première édition du festival des DERNIERS DE CORDÉE.
Ça se passera les 23 et 24 septembre sur la commune de Taxat-Senat.
Un mini-village du fin fond de l’Auvergne.
LE centre de la France. Géographique tout du moins.
Tout part d’une rencontre inattendue entre une association de cordistes (Cordistes en colère, cordistes solidaires) et les membres auvergnats d’un syndicat de travailleuses et travailleurs du spectacle (STUCS CNT-SO).
Ces deux collectifs voulaient chacun organiser un événement festif, un prétexte pour créer un moment de rencontre et de débat dans leurs métiers respectifs. Mais, seuls dans leur coin et face à l’ampleur de la tâche, ça semblait compromis. L’idée leur est alors venue de mutualiser leurs énergies et d’organiser un événement commun.
Tout part de là.
Là-dessus, des collègues de collègues ont eu vent de l’histoire et se sont dit : nous aussi on veut en être ! Des scaff’holders (Scaff de France), des gardiens de troupeaux (SGT), des routiers (SUD Route), des travailleurs aides à domicile (CNT-SO), des travailleurs du jeu vidéo (STJV), des libraires (Book Bloc), des artistes-auteurs (STAA), des correcteurs… un collectif de femmes cordistes (Haut Pluri’Elles) et des inspecteurs du travail (CNT et SUD).
Mais aussi un collectif de familles : Stop à la mort au travail.
Et probablement d’autres surprises encore…
De là, le festival des Derniers de cordée a pris forme, s’est étoffé.
Le nom du festival semble causer. Les derniers de cordée se reconnaissent en ce qu’ils sont surtout les premiers de corvée…
L’envie d’échanger, de se rencontrer est partagée.
Ce week-end-là, ce sera donc un festival multiprofessionnel que nous proposerons. Avec une série de débats pour partager nos luttes. Nous raconter ce qui marche. Ce qui ne marche pas. Tisser des solidarités au-delà de nos métiers propres. Construire des amitiés à la faveur de moments conviviaux. Mettre en commun nos expériences.
Pour en faire naître une nouvelle vigueur.
De son côté, Anthony Pouliquen nous invitera à prendre du recul et à élargir nos réflexions avec sa conférence gesticulée « Une autre histoire des classes sociales ».
Évidemment, des temps seront aussi réservés aux débats intraprofessionnels. Pour nous fédérer au sein de nos métiers. Faire avancer nos problématiques respectives. Délier les possibles.
Mais, en plus de nos histoires de prolos en lutte, des animations auront lieu tout au long du week-end. L’occasion de ramener ses potes, sa famille. Un week-end aussi pour les habitants du coin.
Avec des démos/spectacle présentant les facettes cachées de certains de nos métiers. Un escape game. Tout un espace pour (re)découvrir les jeux d’arcades. Une performance de magicien, jongleur et dompteur de bulles…
Et, évidement, un méga-top-concert le samedi soir avec du punk auvergnat, du ska stéphanois endiablé, et une fin de soirée DJ éclectique.
Alors, n’hésitez pas, viendez !
On en sortira peut-être un peu vidés, mais plus forts. Forts de nouveaux alliés. Pressés de remettre ça l’année suivante. Impatients de partager encore nos victoires.
Regonflés à bloc.
Heureux, en somme.
